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La femme qui ne vieillissait pas, de Grégoire Delacourt (Lattès 2018)

«  À quarante-sept anLa-femme-qui-ne-vieilliait-pas.jpgs, je n’avais toujours aucune ride du lion, du front, aucune patte d’oie ni ride du sillon nasogénien, d’amertume ou du décolleté; aucun cheveu blanc, aucune cerne; j’avais trente ans, désespérément.  »
 
Il y a celle qui ne vieillira pas, car elle a été emportée trop tôt.

Celle qui prend de l’âge sans s’en soucier, parce qu’elle a d’autres problèmes.

Celle qui cherche à paraître plus jeune pour garder son mari, et qui finit par tout perdre.

Et puis, il y a Betty.

" Quatre femmes face à leur âge, dont Betty qui, curieusement, ne vieillit pas… Ce qui pourrait paraître une faveur du destin se révèle, en fait, une malédiction mais Betty saura la vaincre…

On retrouve le style de Delacourt toujours agréable, plaisant, émouvant." JF

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